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Gagner du temps, telle semble être la devise du gouvernement.

Quand des luttes se développent, N. Sarkozy sort un médiateur de sa poche et met les ministres en réserve.

De qui se moque-t-on ?

Et toujours la même politique, gros chèques et cadeaux fiscaux pour les entreprises, des rustines sociales pour les autres.

Les suppressions d’emplois publics, la casse des services publics (l’éducation et la santé en premier) servent de caution financière au déficit galopant.

C’est bien d’un tous ensemble interprofessionnel dont nous avons besoin.

Le 19 mars en sera l’occasion.

Les personnels des universités et des IUFM sont en grève. La coordination des universités soutenue entre autre par le SNESup FSU appelle à la convergence des luttes et lancent 3 nouvelles journées d’action : les 26 février et 5 mars avec une manifestation nationale le 10 mars de la maternelle à l’université.

Le service public d’éducation a aussi besoin d’un tous ensemble.

C’est le sens de l’appel à la grève le 26 février, jour du CTP, que lance l’intersyndicale (FSU, CGT, solidaires, UNEF et Sud étudiant) à l’ensemble des personnels de la maternelle à l’université.

Tous en grève

le jeudi 26 février

Exigeons

  • L’abandon des réformes qui mettent à mal le service public d’éducation
  • L’annulation des suppressions d’emplois
  • Les créations d’emplois statutaires indispensables à un bon fonctionnement du service public

Place de la préfecture

12h00

Barbecue

Pique nique avec les travailleurs sociaux en lutte contre la modification de leur convention collective

14h00

Manifestation