Le 19 janvier, 20 000 personnes dans les rues du Mans.
Le 25 janvier, conférence de Clément Carbonnier organisée par l’intersyndicale interprofessionnelle de la Sarthe.
Le 26 janvier, retraite aux flambeaux contre la réforme des retraites. Initiative FSU avec soutien de l’interpro sarthoise.
Le 31 janvier, 25000 personnes dans les rues du Mans
Le 7 février 15 000 personnes dans les rues du Mans
Le 11 février 25 000 personnes dans les rues du Mans.
Une manifestation historique… Qui a inondé les presque trois kilomètres de l’avenue Jean Jaurès de façon compacte.
Le 16 février journée lors de vacances scolaires.
7 à 10000 personnes. Une baisse facilement explicable, qui ne dit pas une faiblesse de la détermination, contrairement aux interprétations que ne manquent pas de faire les médias au service du gouvernement.
Le 7 mars
Une manifestation encore supérieure en nombre : Appel national à la grève par une intersyndicale nationale unitaire.
La manifestation la plus massive : 33000 sur la Sarthe, 30000 au Mans. En plus des appareils syndicaux présents en nombre, des familles sont aussi là et toute une diversité non organisée, mais déterminée.
Le 8 mars
Journée internationale pour les droits de femmes. Des initiatives différentes. Celle impulsée par la FSU, qui rassemble des associations féministes et les syndicats SUD, CNT, CFECGC est la plus importante en nombre avec 800 personnes. Elle converge avec celle de la CGT, partie de l’entreprise Oui Care, sur les Jacobins. La prise de parole sera unitaire.
Le 11 mars
4500 manifestant-es dans les rues du Mans. Il y a encore quelques mois cela aurait été une belle victoire. Dans le contexte, après le sommet atteint le 7 mars, c’est une déception. Évidemment baisse en nombre qui ne dit pas une baisse de la colère, au contraire…
Le 14 mars
Des actions à l’initiative de la CGT, lors desquelles la FSU a été présente dès 4H30 du matin, bloquent des centaines de camions sur le boulevard Lefaucheux. Les agents de la voierie filtrent le départ des véhicules. 
Le 15 mars
Le 16 mars
…
Extrait du chant catalan « l’Estaca » (le pieu), joué sur les manifestations par la section musicale FSU : Si estirem tots, ella caurà, si jo estiro fort per aquí i tu l’estires fort per allà, segur que tomba, tomba, tomba, i ens podrem alliberar (Si nous tirons tous, il (le pieu) va tomber, si je tire fort vers ici, et que tu tires fort par là, il est certain qu’il tombe, tombe, tombe, et nous pourrons nous libérer).
