Quel loupé monumental ce 1er essai de "name and shame", pourtant restreint aux seules entreprises de plus de 1000 salariés : le tableau du déshonneur n’a été affiché que 12 heures avant que le lobbyisme patronal démontre encore une fois son efficacité ! Et pourtant ce bug de communicant est révélateur d’une politique déjà à l’œuvre au ministère du travail et qui y crée de la souffrance au travail, comme ailleurs , puisque ce sont les mêmes outils du "management moderne" et individualisant qui sont en action.