Le 1er mai 2020, nous ne pourrons pas nous rassembler dans les rues, comme c’est la coutume à l’occasion de la Fête Internationale des travailleurs-euses.
Pour autant, les raisons de se mobiliser sont nombreuses, et ce 1er mai est l’occasion d’évoquer le « Jour d’après », celui où nous pourrons de nouveau occuper l’espace public pour exprimer et faire avancer nos revendications, et imposer aux dominants un projet de société en rupture avec le modèle de développement qui nous a conduit dans la situation dramatique actuelle.